samedi 1 juillet 2017

Les tueurs des Nations sont en marche

Faut-il le rappeler ? Sans doute. Il y a presque un siècle (moins cinq ans !) un individu imbu d'une certaine supériorité a publié un projet "grandiose" ayant pour but de remplacer les nations par un fatras de populations apeurées et sans but. Pour quelles raisons ? Celles qui commencent à être dévoilées, mais que le grand public connaît mal.

Richard Coudenhove-Kalergi, hobereau austro-japonais (déjà cela surprend), naquit à Tôkyô en 1898. Globaliste à sa manière (il pratiquait seize langues), dès 1922 il a lancé son manifeste "La question européenne" le 21 juillet 1922, puis PanEuropa en 1923. Plus tard c'est lui qui émit l'idée d'un hymne européen, concrétisé par l'hymne à la joie de Beethoven. L'idée bien entendu était de rendre obsolètes les langues, les patries, tout ce qui pouvait gêner le mondialisme. Ses idées, hélas ! n'ont pas été vaines, puisqu'elles se réalisent sous nos yeux effarés.





Que peut-on conclure ? Une oligarchie mondiale s'est emparée de ces concepts terribles, afin de les appliquer pour le plus grand bénéfice de quelques tarés suprêmes. La seule façon de contrer cette volonté est de casser l'union européenne en la quittant en force. Malheureusement, bien peu de personnes en France ont pris conscience de cette nécessité, plus fort certains qui font mine de vouloir se retirer affectent de ne le faire que SELON les règles de leurs bourreaux, autant dire en pure perte, voire pour un résultat pire encore. Il suffit de voir les atermoiements du Brexit, alors que la Grande Bretagne ne satisfait depuis l'origine qu'à certaines des règles communautaires, et qu'en particulier au niveau monétaire elle est restée libre.

Il va falloir partir de force, en claquant la porte d'abord. En même temps il faudra se protéger en empêchant tous les transferts d'argent, en réquisitionnant les multinationales, ou leurs filiales françaises. Le reste est en ligne ici, c'est long mais essentiel.

Toute lutte sera bonne : bien entendu celle, politique, qui consistera à faire connaître les idées des résistants. Une tentative de se faire élire permet de se mettre en valeur, et surtout de mettre en valeur une solution autre que le TINA "Il n'y a pas d'alternative" de Thatcher .




Une autre lutte tout aussi importante, sera de partir à l'assaut de l'invasion globiche, ce jargon pseudo-anglais si à la mode que veulent imposer à tout prix les publicitaires, les journalistes connus, certains politiciens, certaines administrations au mépris même de la loi Toubon, et pire encore, de l'article 2 de la Constitution.

Enfin, puisque le commerce est l'un des moteur du Système, le concept du Achetez français deviendra toujours plus primordial, en même temps que toujours plus difficile : la globalisation a tôt fait de parcelliser les tâches sur des milliers de kilomètres afin que personne ne soit maître de rien, excepté les banquiers qui contrôlent les flux d'argent correspondants.

mardi 16 mai 2017

Au français attaqué

Au français attaqué


Ô rage, ô désespoir, ô français démuni !
Que n'ai-je tant vécu que pour cette infamie !
Et n'ai-je tant noirci, via de lourds encriers,
De blanches pages réglées en cursives surannées !

Mon bras se fatiguait à cadence soutenir
Le rythme du lecteur, au point que des soupirs
Fusaient de quelques jeunes écoliers en émoi
Attentifs à saisir de grammaire la loi !

Ô cruels prescripteurs d'une langue altérée !
Soyez maudits d'en faire une vague traînée,
Une vraie courtisane au parfum frelaté
Qui ne voit que l'argent, mais n'a plus de fierté.

D'un Globiche puant désormais se pavanent
Les sombres professeurs au torturé organe
Dont s'agitent, éructant, les puissants maxillaires
Dressés à déchirer viande et vocabulaire !




bab

samedi 15 avril 2017

Les votants, et l'union européenne

Dans une semaine, les citoyens français vont être appelés une fois de plus aux urnes, pour un simulacre de démocratie. Simulacre, puisque voter pour quelqu'un qui occupera la place présidentielle au conseil des ministres, c'est lui donner pour cinq ans les clefs de la maison France sans espoir de penser que ce quelqu'un acceptera de tenir compte des besoins exprimés par les électeurs.

C'est d'ailleurs pourquoi une carte d'électeur est une aberration : on a besoin d'une carte de VOTANT, pour décider ensemble de ce que nous voulons.

Le seul candidat déclaré au départ, qui voulait une sortie immédiate et unilatérale de l'union européenne, Jacques Nikonoff, avait annoncé cette nouvelle le 29 mai dernier, date anniversaire prestigieuse.  Dans les faits, il n'a pas réussi à obtenir ses cinq cents parrainages : £€ $¥$T€M€ s'est bien arrangé pour qu'il n'y réussisse pas, surtout avec le coup de pouce de la loi électorale Urvoas.

Ne restent que des candidats qui s'arrangent très bien de cette union bruxelloise, au point d'y avoir présenté des candidats à l'élection au parlement de Strasbourg il y a trois ans. Il ne faut pas l'oublier. Y compris cet UPR, qui fait tant de battage sur la Toile, et qui avait obtenu 76000 voix à ce scrutin en mai 2014.

Quand celui-ci, faisant montre d'un entêtement terrible, ose EN PLUS prétendre sortir de l'union en utilisant des pseudo-outils que les Français ont refusés le 29 mai 2005, outils très dangereux de surcroît, on se pince.

Oui, le Pardem, le Parti de la Démondialisation, est le seul, avec le PRCF dont les intentions sont bien moins abouties, à vouloir se débarrasser de l'union européenne tout de suite, sans attendre le feu vert d'autres organismes supra-nationaux, et avec un programme très précis pour accompagner ET prolonger ce processus. Car oui, on peut le faire (tout est expliqué dans le programme), et si on peut le faire, on doit le faire.

Sortir de l'union, complètement, se libérer des chaînes du capitalisme et de la mondialisation, redevenir les maîtres de notre destin social commun, lutter enfin avec efficacité pour que le chômage disparaisse "naturellement", pour que les services publics le redeviennent vraiment, oui, on peut le faire, donc on doit le faire.



Nous pourrons le faire en élisant dans un premier temps des députés animés de cette volonté les 11 et 18 juin.

En attendant, cette pseudo-élection qui nous arrive sur la tête dans une semaine, vu la mascarade qu'elle révèle, nous ne pourrons y répondre que par un CARTON ROUGE.