Les mêmes financiers et industriels qui mirent le pied à l'étrier à Adolf Hitler, pendant une dizaine d'années de 1932 à 1942, continuent la même stratégie. Dès 1943 arriva la relève, des hommes comme Jean Monnet et Robert Schuman se retrouvèrent "en stage" aux États-Unis dans le but de prolonger l'effort des banquiers : transformer durablement l'Europe en une colonie commode pour les débouchés des activités US. La pléthore colossale de films produits à la chaîne par Hollywood à cette période-là participe de façon très forte à la propagande pour le soldat US libérateur, envahissant en 1944 nos plages et nos villages avec ses chewing-gums, ses sodas, ses cigarettes si différentes, sa décontraction (et ses viols à répétition, mais on en parle moins).
C'est ce déferlement que le général de Gaulle a bloqué dès son retour en France, refusant la monnaie de singe de l'occupant (AMGOT). Bientôt même, il l'obligea à déplacer ailleurs ses bases multiples nourries par une noria de GMC que, gamin, je voyais passer en riant. De même j'étais alors très impressionné par les immenses voitures garées dans un hameau US près duquel je passais souvent, aux aspects tellement différents de nos villages français !
Pendant ce temps-là se tramaient des tractations où les agents US Monnet, Schuman, Spaak avaient le "beau rôle", sous couvert de reconstruction, avec la CECA d'abord, annoncée par Schuman dès 1950. Je cite là une phrase de Wikipedia, au contenu bien caractéristique, et ne laissant aucun doute sur l'origine de ces initiatives : les Anglo-Saxons de l'extérieur.
Son principe s'inspire fortement des idées présentées par James Arthur Salter, 1er Baron Salter dans le livre Allied Shipping control qui mettaient en place la coordination des intérêts alliés après la première guerre mondiale.
C'est ainsi que s'est petit à petit posée cette pseudo-Europe des décideurs, loin des vrais citoyens, et même s'en protégeant. C'est de cela qu'il convient de jour en jour davantage de se débarrasser, de gré, ou de force. D'autant qu'il ne s'agit pas de l'Europe, puisque certains pays comme la Norvège, la Suisse n'en ont jamais fait partie.
Il est remarquable de noter que le symbole qu'ont voulu prendre ces gens est le drapeau bleu avec douze étoiles, qui semblerait ne vouloir rien dire, si.... on ne le retrouvait ailleurs, à propos d'un contexte fort malvenu en France championne de la laïcité. Mon ami Sylvain Baron a même découvert que les symboles dits "européens" n'ont pas été ratifiés par deux pays : la Grande-Bretagne (on a l'habitude) et.... la France. D'où sa légitimité pour retirer ces symboles d'autre chose sur des frontons de bâtiments publics, à juste raison.
Nous, Français, n'avons rien à faire dans cette "union" que nous avons refusée avec panache le 29 mai 2005. Ce que firent ensuite les gouvernements, c'est passer outre cette décision souveraine, ce qui les mettait dans une position illégitime : ils s'en fichaient, jusqu'à présent ils avaient la force avec eux, mais cela pourrait bien changer. Le fait que la majorité en France ait basculé en 2012 était déjà un désaveu, mais bien entendu ils ne l'ont pas entendu ainsi.
Il est du devoir de tous de reprendre la lutte qu'avaient initiée nos parents et grands-parents contre les mêmes adversaires de fait, soit les hommes d'argent anglo-saxons et leurs "barbouzes". Il s'agit d'ailleurs des mêmes, ou de leurs descendants, puisque Prescott Bush le grand-père participa au pot dans lequel puisa le chancelier. De même chez les Rockefeller, les Rothschild.... oui, nous sommes en guerre, souvent nos compatriotes ne le savent pas, mais EUX le savent. Et qu'on ne dise pas qu'il ne s'agit que d'une guerre économique (bien qu'elle fasse rage) : les yeux que perdent nos jeunes au cours des manifestations, la vie arrachée à Malik Oussekine ou Rémi Fraisse procèdent du même combat.
L'union européenne est NOTRE ennemie. Bien planquée derrière des mercenaires payés de fait avec notre argent et nos impôts, elle nous prépare l'horreur par petites touches presque insensibles. La loi travail n'en est qu'une petite étape. QUI se lèvera ? Ne l'oublions pas, c'est toujours dans le camp du Peuple Souverain que se trouve la légitimité.
"Les grands ne sont grands que parce que nous sommes à genoux" (La Boétie, Discours de la servitude volontaire)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire